Le ministre de la santé, Aurélien Rousseau (un énarque titulaire d'une maîtrise d'histoire passé par le cabinet de Bertrand Delanoë alors maire de Paris, à la ville le compagnon de Marguerite Cazeneuve, n°2 de l'Assurance maladie, fille de Jean-René Cazeneuve député du Gers, maman travaillant chez le labo américain Elli Lilly, et sœur de Pierre Cazeneuve, ancien du cabinet d'Edouard Phillippe et aujourd'hui député des Hauts de Seine) pense intelligent de poster des captures d'écran de twittos dans lesquels des internautes l'enguirlandent à propos des vaccins. Comprendre les vaccins anti-covid, dont on sait depuis le début qu'ils n'ont aucun intérêt pour l'écrasante majorité de la population, puisque n'empéchant pas l'infection et n'arrêtant pas la transmission. Pas nous qui l'écrivons mais Pfizer, Moderna, Astra Zeneca et al. dans les documents qu'ils ont remis en 2020 à la FDA américaine au terme de leurs essais de phase III.
Nous avons déjà exposé dès 2021 pourquoi les vaccins à ARNm n'ont d'utilité que pour la partie de la population vulnérable en complément des vaccins traditonnels. D'un seul coup, le marché se réduit à peau de chagrin.
Il faut être imbécile ou corrompu pour croire qu'injecter en masse chez des individus en bonne santé un ARN de synthèse afin de stimuler la production d'anticorps est une voie bénéfique pour la santé publique – alors qu'elle l'est indéniablement pour l'industrie pharmaceutique. Les vaccins à ARNm sont plus simples et coûtent moins à produire que les vaccins traditonnels mais sont vendus plus cher. Innovation on vous dit. La prévention de la Covid passait par de simples lavages de main réguliers. Par ailleurs, il serait bon que le ministre explicite le lien entre prévention, innovation et vaccination – une argutie puisque le principe de la vaccination est connu et utlisé depuis le XVIIIe siécle. Vous parlez d'une innovation !
Avec l'ARNm, le système immunitaire n'apprend pas, puisqu'il n'a pas produit lui-même cet ARN messager en reaction à un pathogène. Les vaccins à ARNm sont ni plus ni moins que le remplacement d'une partie critique du processus immunitaire, qui ne présente d'intérêt que pour les immunodéficients. Chez des individus sains, leur utilisation revient de facto à les affaiblir, à les rendre dépendants à terme d'injections régulières, puisque c'est l'immunité humorale du plus faible ordre qui est très temporairement stimulée.
Quant aux effets secondaires des vaccins à ARNm, bien rééls et importants, il est naturellement interdit d'en parler. La vaccination de masse contre la Covid n'a somme toute été qu'un gigantesque essai clinique in vivo de produits pharmaceutiques expérimentaux, dont on refuse aujourd'hui en France et dans l'UE de publier les résultats. Le tout aux frais des contribuables. L'angoisse de nos gouvernants et des labos est palpable alors que la vérité fait jour petit à petit. Ils sont terrorisés à l'idée d'être tenus comptables de leurs décisions et de leurs conséquences.
Les infections virales respiratoires – grippe, covid etc – ne tuent que des personnes très vulnérables dont les comorbidités sont connues de leurs médecins traitants. Qu'on leur réserve les vaccins à ARN. Et que les ministres laissent les gens s'exprimer sans les clouer au pilori sur les réseaux sociaux. Raconter des âneries est une liberté fondamentale, sauf quand on est ministre.