De riches bobos louent les ventres de femmes pauvres à l'étranger pour assouvrir leur névrose et se persuader qu'ils ont eu des enfants. Pas nouveau. Plus que navrant. Cela en dit long sur l'idéologie qui prévaut chez ces gens pour qui tout est fongible. Pas comme s'il n'y avait pas de par le monde suffisamment d'enfants à adopter.
Marion Maréchal a déclenché une bronca généralisée en posant la question de savoir où est la maman. Question certes imbécile mais qui ne relève pas de l'homophobie.
Le ban et l'arrière ban de la bien-pensance bourgeoise parisienne et des "ONG" se sont mis derechef à hurler. De la porte-parole du gouvernement à l'ineffable Yann Brossat en passant par le non moins ridicule ex-ministre Clément Beaune.
Tous ces gens qui crient au non respect des droits de l'Homme et à l'homophobie sont des Européens convaincus qui nous répètent que nous avons aussi tous besoin d'Europe, non? Bon.
Le droit européen considére depuis 2023 la gestation pour autrui (GPA) comme une forme de traite d'êtres humains, ce qui met l'ensemble des pays de l'UE dans l'obligation de la réprimer pénalement. Monnayer à l'étranger la gestation d'un enfant dont on ne connaît pas la mère est la définition même de la traite d'êtres humains. C'est le parlement européen qui en a décidé ainsi.
Nous attendons donc de Mme Thévenot, de M. Beaune, de M. Brossat etc. qu'ils signalent les faits au procureur de la République en vertu de l'article de 40 du code de procédure pénale, qui les oblige à le faire. Et nous attendons du parquet qu'il poursuive les deux "papas" et leur retirent leurs "enfants". La peine encourue pour traite d'êtres humains en France est de 10 ans de prison, article 225-4-1 du code pénal.